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La dépression hivernale

  • Photo du rédacteur: Amélie Simonetti
    Amélie Simonetti
  • 18 nov.
  • 1 min de lecture

À mesure que les jours raccourcissent, le corps se fatigue plus rapidement. La lumière baisse, le sommeil se fragmente, et les réserves diminuent. Cette fatigue saisonnière n’est pas anodine : elle réduit notre stabilité émotionnelle. Beaucoup de personnes ressentent alors une humeur plus fluctuante, une irritabilité inhabituelle ou une sensibilité accrue.


L’erreur la plus fréquente est de laisser ce mouvement s’installer, en attendant que ça passe. Or, plus on est fatigué, plus la déprime gagne du terrain. C’est précisément à ce moment qu’il faut se mobiliser, même légèrement : remettre un peu de lumière dans ses journées, réorganiser ce qui surcharge inutilement, réintroduire des repères simples. Et surtout, ne pas laisser la déprime saisonnière s’installer jusqu’à devenir un état.


Parfois, cela demande d’être accompagné. Venir au cabinet permet de remettre du sens dans ce que l’on traverse, de distinguer ce qui relève du cycle saisonnier de ce qui touche plus profondément, et de retrouver des points d’appui concrets. Quelques séances suffisent souvent pour replacer de la stabilité là où tout semble flottant.


L’hiver fragilise, mais il n’a pas à désorganiser. C’est un moment où l’on peut reprendre contact avec soi autrement, à condition de ne pas rester seul face à cette fatigue qui déforme tout.

 
 
 

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CABINET DE PSYCHOLOGIE

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